Sur Liège, il neige, beige ou blanche, épidémie de sinusite,
Des flèches se plantent dans les tranchées vertes, translucides
Les anges deviennent bêtes à corne,
Portes closes sur des clauses se mettent d’accord
Proxo, tox, d’autres se mettent la corde
Au cou, beaucoup se pètent la cornée
Devant des pornos, et les mioches épargnées ? ,NON, à tort nos
Sœurs avalent leurs sornettes et finissent dans un bordel
Se punissent devant un cortège de vieux porcs, de leurs yeux sortent
Des larmes de sang, on s’empare de leurs âmes pour un quart de 100 eur
10 de beuh pour oublier ce qu’elles ressentent, EUX ?
Des brelles du bancs, bandes sur leurs bretelles de bas
Résilles, se battent pour des bouts de résines se barre, de bars
En buvettes, rêve d’S.U.V mais ne sont que des suiveurs
Sont déçus de…
Tout, donc s’autopunissent, auto-tuning remplace pipe et cuni
Curé ni vu ni connu, leurs murs ont vu les pires crimes
Cirf not attire notre démon, à l’ON..EM des voisins se dénoncent
Baromètre, humide poignée de main car malhonnêtes
REFRAIN
Ya les mêmes/ à gauche à droite/
Madame « La came »/ les fauche le soir
L’alcool les/ réchauffe, les soigne/
Ya des jeunes/, des chauves, /des femmes
Certains déjeunent ,/ et d’autres s’affament
D’autres s’affalent,/ côte/ à côte/ ça va
Chacun/ écope de sa part,/ les cops s’acharnent
Sur des zombies
HOFUSK
ils sortent de Terre , jouent les fortes têtes,
croisent le fer puis opèrent en pair. Ils perdent
la bataille...mais gardent la patate!
des mioches à la débauche, des anges noirs en cravates
Ces Zombies au pire avenir, has been, aah c'film; une fin tragique, magie!
découvre sous ton cadastre, un dortoir a cadavres
maudit dans la peur, la nature, les désastres, tu sais ca?
Leurs messages sont cryptés, leurs nuques étiquetées, le coeur ? déchiqueté, irrités
ils boitent et...vacillent
c'est l'alcool facile...ou le reflux d'acide, bref aucun principe.
BEHYBE
Des squelettes que les réverbères éclairent
Et le seul être qui m'aime est une paire de globe oculaire
HOFUSK
Avides de chairs fraiches, 'dorment dans une caisse, 'deviennent "l'espèce", et à l'aube se dispersent
S.KAA
Morts vivants sur le divan
Suivant !
C'est le vide dans l'iris
Le sleep onirique
Rêve de ce qu'ils vendent
Des envies en vitrine et des règles t'en privant
Du spleen, du speed, du style qui suit le vent
De la suie sur les murs en guise de décor
Décode : le naine prend l'eau plus personne ne veut prendre l'écope
La vigie crie à l'aide
Le malaise et le mal-être dans le manège
Et les moutons se ruent vers la falaise
Lez zombies dans le centre
Dans l'ensemble peu de marge
La routine dans un sens ne marche que la déprime dans le sang
Le regard hagard dans la file, la rage dans le traffic
Ne sont que des signes de ton passage à vide
Is errent et arpentent le bitume machinalement par habitude
Adoptent finalement tous la même attitude :
Dociles et attentistes, très inattentifs
Et les rangs se grossissent comme dans un film de Roméro
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