SOUS
CONTROLE
Plekk 1
Les
prisons sont nos têtes, méprisons nos hôtesses,
On
s’en fait péter le caisson, le message reste incompris
Qu’on
crie, qu’on laisse des écrits, maîtresse est la bêtise
Traîtresse
est la rétine, et si je déteste l’Amérique, c’est clair
C’est
que la presse délivrée s’y dit libre et avertie
Sous
Poutine, on la sait soumise et asservie
En
Iran, en Irak, en Syrie, c’est le livre qu’ils travestissent
Dur
de trier, de ne pas accorder de l’estime à Palestine
Dur
de se défaire de ses racines, quand on se livre sur l’Azerty
On
pisse son amertume, expérience perfide semant la brume
Sur
la vertu, pas le même sentiment qu’on a vue sur la mer du
Nord,
ou vue sur la merde du bloc, les études sont dans l’air du
Temps,
mais prudence car délicate est la culture de blogs,
Les
brèves côtoient l’inepte, les traîtres nous veulent inertes
Les
scènes sont montées, remontées, les secondes d’antenne comptées
Nos
cous sous minerve, œillères invisibles, resterons nous solidaires
Leurs
yeux dans les nuages, si salutaires, alors nos plans seront lunaires
Plekk 2
Voilà
ce que la culture rend
Plus
de cul et d’écritures rances, le futur semble pensé d’avance
La
rupture immense entre têtes pensantes et Balance (justice),
une odeur de sulfure hante les corridors de la chambre et du sénat,
Sur ses cendres, se prélasse le consumérisme, conçu par l’élite
Pour qu’on se dirige vers leurs Consuleries aux apparats démocrates,
Leurs appareils jugent mes mots crades sauf lorsqu’ils nous caricaturent,
Douleurs aux crânes, sous leurs medias on craque, car ils charrient la thune.
Devenons leurs otages lorsqu’ils marient l’actu
A leurs intérêts, bureaucrates insérés, serment d’hypocrate dans tes rêves,
Le chirurgien n’a rien d’un insurgé. D’ailleurs, change de sujet
Si tu reviens, écoute bien ! Il y a même 1 mic sur le G (sm),
Voici l’Europe économique, après avoir pillé les colonies,
On leur rend l’autonomie en gardant le contrôle du FMI,
Bref elle garde son trône, et l'autre la famine,
Boutroules gonflées Vs hummers ronflants, le nez dans la farine.
une odeur de sulfure hante les corridors de la chambre et du sénat,
Sur ses cendres, se prélasse le consumérisme, conçu par l’élite
Pour qu’on se dirige vers leurs Consuleries aux apparats démocrates,
Leurs appareils jugent mes mots crades sauf lorsqu’ils nous caricaturent,
Douleurs aux crânes, sous leurs medias on craque, car ils charrient la thune.
Devenons leurs otages lorsqu’ils marient l’actu
A leurs intérêts, bureaucrates insérés, serment d’hypocrate dans tes rêves,
Le chirurgien n’a rien d’un insurgé. D’ailleurs, change de sujet
Si tu reviens, écoute bien ! Il y a même 1 mic sur le G (sm),
Voici l’Europe économique, après avoir pillé les colonies,
On leur rend l’autonomie en gardant le contrôle du FMI,
Bref elle garde son trône, et l'autre la famine,
Boutroules gonflées Vs hummers ronflants, le nez dans la farine.
REFRAIN
Sous
contrôle, les drones quadrille la zone, Observe
La
faune en panne de neurones , à qui la faute, Réserve
Ton
opinion, Eclaire leur horizons
Tes
chaînes sont translucides, tes rêves ils dansent dessus
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