bannière cliquable si nécessaire

.

vendredi 14 septembre 2012

Animal de Vivre (new clip 2012)


Voici le second extrait de l'album 6virgule7. Nos 4 INV, après s'être introduit dans la peau d'humains, ont intégré l'esprit des vrais gars de la rue ! La faune urbaine. Un rap anthropomorphique dans la peau d'un pigeon (Sabeer), d'un rat d'égout (Béhybé), d'un chat de gouttière (Hofusk) et d'un chien errant (S.kaa). Voici le résultat, montage par Hofusk. Prod Hofusk pour ULTRASON Beatmakerz

samedi 4 février 2012

Voici un premier bonus à l'album 6virgule7, et pas des moindres. En effet, concoctée par les beatmakers de ULTRASON, voici la version instrumentale des 10 titres de l'album. Faites vous plaisir, partagez et laissez nous vos impressions sur ce blog, sur le facebook INVADERDZ ou sur le facebook ULTRASON.

Il vous suffit de cliquer sur l'image pour télécharger gratuitement les instrumentaux ou de cliquer ici

Voici un teaser à vidéo à faire tourner, dans la description, il y a aussi le lien pour télécharger.









vendredi 18 novembre 2011

6virgule7 en téléchargement libre

3ème opus de INVADERDZ. Après Ufologie sorti en 2009 et Invalid Data en 2010, voici un 10 titres assez dense à appréhender avec patience. Les idées, les formules ont été élaborées avec soin. Profitez donc de la rubrique lyrics pour vous éclairer sur les propos des 4 extraterrestres. Trêve de blabla. Bonne écoute.
Cliquez sur l'image et laissez vous pénétrer par les ondes cosmiques.


Si le premier lien est indisponible, clique ici

Le clip extrait de 6virgule7 : Dégradé de Gris

Invaderdz album 2011 (6virgule7) : "Dégradé de gris"
Prod: Sabeer aka 54833R pour ultrason trulsmakerz
Real: S.W.A.G.
Remerciements : Ray Ishido, Geoffrey Gilson, Julien Desmet, Stéphane Bordignon, Nova Dead, Michael Colémont., Them, Cosmokidz, Tshiani, étudiants de l'ULG, Carrefour Express St Léonard.



Le Futur c'est Demain (Lyrics)

BEHYBE
Comme dans un mariage pachtoune, ya partout des fêlés/ qui n’hésite plus à tirer
Neurosky et sa télé/kynésie, nous reste plus qu’à prier
De call of/ au kalachnikov, manque juste/ le bio port/
Nexus/  versus Ecstasy  te fascine/ et t’es mis aux portes/ 4
De l’onirique et du réel/, Néo-lyrisme jusqu’au snuff (movies) que tu DL (download)/
Donnent envie de KILL BILL, au quotidien, le héros on s’en fout qu’il vive
De Tolstoï à Gainsbarr, de toute façon, on se barre seul et malade
Sur une balade des White Dolls,  on ne voit que 7 milliards de cadavres /8
On marche sur Haïti avec une paire de Prada rêvant d’un Geminoïd
Nos modèles sont ultralights et ressemblent aux kaminoans, des hominoïdes
Plus que des humains le très haut/ est un Dramaturge, Théo/ logiquement (nous) ne sommes pas mature, pourtant ça urge... car LE FUTUR C’EST DEMAIN /12

HOFUSK
au JT c'est le pot aux flammes, et j' grimace a la Dary Cowl
on ouvre les portes aux femmes et elles en font des Glory Hole
trêves peu tangibles,guerres des endives,
la Terre s'choppe une angine,
j'en chie et j'legue mes rêves a Tangerine
nos familles veuves, pleure, l'moral dans les chaussettes
stoppez les frais le futur regarde le ciel dans nos poussettes
la haze, donne des toux seches, "et le cancer?" mais quand sais-je!
l'homme est doux certes, quand ses intérêts se comptent en pièces
le temps presse, la terre craque; loi d'la tempete en faire-part..
Etanches pertes. Nous, trentenaire c'est le départ
infirmes bipèdes les vipères aux poings:
les sutures, c'est qu'2 points...
...mais le futur c'est demain

S.KAA
Des clones, des puces, explosent les bulles familiales
Et les thunes par milliards se déposent
Dans la Hya et la coke
C'est le pillage à l'école, le billard ou la tombe, le maquillage pour les gosses
Qu'est-ce qu'il y'a dans les codes ?
01 01 010
Ta vie est chiffrable sans ton corps
Par filiales se développent zélotes et Zorro
Putain le cello est sérum car y a du grillage dans le décor
Des robots dans le dépôt
Et qu'il y' a la NASA qui décolle
Qu'il y a le progrès qui nous cognent alors que nous ne sommes que le fruit du hasard
Qu'ils bazardent leur passé, je ferai de même…
Car le futur c'est demain



Zombies

BEHYBE
Sur Liège, il neige, beige ou blanche, épidémie de sinusite,
Des flèches se plantent dans les tranchées vertes, translucides
Les anges deviennent bêtes à corne,
Portes closes sur des clauses se mettent d’accord
Proxo, tox, d’autres se mettent la corde
Au cou, beaucoup se pètent la cornée
Devant des pornos, et les mioches épargnées ? ,NON,  à tort nos
Sœurs avalent leurs sornettes et finissent dans un bordel
Se punissent devant un cortège de vieux porcs, de leurs yeux sortent
Des larmes de sang, on s’empare de leurs âmes pour un quart de 100 eur
10 de beuh pour oublier ce qu’elles ressentent, EUX ?
Des brelles du bancs, bandes sur leurs bretelles de bas
Résilles, se battent pour des bouts de résines se barre, de bars
En buvettes, rêve d’S.U.V mais ne sont que des suiveurs
Sont déçus de…
Tout, donc s’autopunissent, auto-tuning remplace pipe et cuni
Curé ni vu ni connu, leurs murs ont vu les pires crimes
Cirf not attire notre démon, à l’ON..EM des voisins se dénoncent
Baromètre, humide poignée de main car malhonnêtes
REFRAIN
Ya les mêmes/ à gauche à droite/
Madame « La came »/ les fauche le soir
L’alcool les/ réchauffe, les soigne/
Ya des jeunes/, des chauves, /des femmes
Certains déjeunent ,/ et d’autres s’affament
D’autres s’affalent,/ côte/ à côte/ ça va
Chacun/ écope de sa part,/ les cops s’acharnent
Sur des zombies

HOFUSK
ils sortent de Terre , jouent les fortes têtes,
croisent le fer puis opèrent en pair. Ils perdent
la bataille...mais gardent la patate!
des mioches à la débauche, des anges noirs en cravates
Ces Zombies au pire avenir, has been, aah c'film; une fin tragique, magie!
découvre sous ton cadastre, un dortoir a cadavres
maudit dans la peur, la nature, les désastres, tu sais ca?
Leurs messages sont cryptés, leurs nuques étiquetées, le coeur ? déchiqueté, irrités
ils boitent et...vacillent
c'est l'alcool facile...ou le reflux d'acide, bref aucun principe.
BEHYBE
Des squelettes que les réverbères éclairent
Et le seul être qui m'aime est une paire de globe oculaire
HOFUSK
Avides de chairs fraiches, 'dorment dans une caisse, 'deviennent "l'espèce", et à l'aube se dispersent 

S.KAA
Morts vivants sur le divan
Suivant !
C'est le vide dans l'iris
Le sleep onirique
Rêve de ce qu'ils vendent
Des envies en vitrine et des règles t'en privant
Du spleen, du speed, du style qui suit le vent
De la suie sur les murs en guise de décor
Décode : le naine prend l'eau plus personne ne veut prendre l'écope
La vigie crie à l'aide
Le malaise et le mal-être dans le manège 
Et les moutons se ruent vers la falaise
Lez zombies dans le centre
Dans l'ensemble peu de marge
La routine dans un sens ne marche que la déprime dans le sang
Le regard hagard dans la file, la rage dans le traffic
Ne sont que des signes de ton passage à vide
Is errent et arpentent le bitume machinalement par habitude
Adoptent finalement tous la même attitude :
Dociles et attentistes, très inattentifs
Et les rangs se grossissent comme dans un film de Roméro

Funiculaire (Lyrics)

 PLEKK écrit à 4 plumes (Sabeer, Béhybé, S.kaa, Hofusk)

Le regard fixé vers ma galaxie, me dit que le succès, j’y ai pas accès,
Qu’à cela ne tienne,
Faut que j’arrête le laxisme
Remercie ceux qui m’assistent
Mais l’adulescent doit faire ses lacets /
S’éclipser… des règles que l’on assène
Pour me faire une idée
Voir le monde de ma nacelle,
Où ma ceinture n’est plus clipsée
Le soleil m’allume
de ses rayons rectilignes, Un funambule en équilibre
sur un fil tendu /
Entre la Terre et la Lune
Notre astre a entendu les râles de mon cadavre
Corps vide entouré à la craie de la marelle sous l’orbite vide de la macrâle
Lorsque la peine est ma marraine que l’avenir est à l’orage
30 ans que mon vaisseau est amarré /
REFRAIN
Nos terres s’éloignent au chant des sirènes qui se cachent
Nos mains témoignent de l’âpreté de nos tâches
Le cordon ombilical ………..s’est rompu
Le cor..beau médical s’est trompé.

Au taf, ils me vilipendent, du haut de la butte de leur mini clan
Leur but ridicule, que des replicants tandis que je m’inocule des récits de Clamp
Au bout du funiculaire, des lunariens m’observent de leurs oculaires
Tout ça ne mène à rien, qu’ils s’occupent de leurs
Ménopause et viagra, j’ai trop de proses pour leur diagramme
Le ballet rose n’est pas de Mya Frye
Ne laisse que ronces dans le diaphragme
Je ne trouve plus les pièces du puzzle… trop grand
Je n’ai pas de réponses mais j’appuie sur le buzzer… gros plan 
sur le faiseurs de frontières…
dépose le chrome sur nos racines capillaires, le gréement vacille capitaine,…
rassit  nos épidermes, assit nos principes, et ainsi réduit l’être
se résume en six lettres (argent), combat la cellullite et amasse les cellulaires
il crie « laissez le libre », regard de glace derrière ses lunettes
un spasme accru, on ne se cache plus, vais-je le voir naitre ?
mon chéri, mini moi quand ma self estime est au minima,
6 milliards 7 d’êtres similaires, aimerais faire partie de ceux qui s’humilièrent
En vivant comme Hanks dans Big
 On avait tant de but en tête, adulte, en fait, un tas de stress dans le bide
D’insultes  anglaises, BIATCH, on se déteste sans le dire
Le Corbeau médical s’est trompé,
Les piles s’épuisant,  les rires se réduisant
 Neverland  est tombé
le vice surgissant, la miss rugissant
un 26 décembre, un timbre dans les cendres
et une famille à combler

Nos terres s’éloignent au chant des sirènes qui se cachent
Nos mains témoignent de l’âpreté de nos tâches