BEHYBE
Dans
ma vie, rien d'extraordinaire. Rien qui fait qu'on me reconnaîtra une
fois dead. Même si je consomme des SONULTRA au petit dej'. Même mon rap
honorable ne me laissera de privilèges. Rien que la dech' de la petite
famille, le toit où je crèche et la
pyramide des besoins. Vni, l'avenir est loin. La tyrannie des liens
(familiaux) constituent ma chrysalide. Le bien ? ou bien le matérialisme
? Aucun de mes rêves ne se matérialise. Tes restes ? (ou) Les vestes
que je me prends ? Parfois, tout se joue sur un penalty, tu rates le
coche, on te sprotche ou on t'éradique. Mes proches, ma thérapie. Je
m'accroche à mes racines. Mais quoi d'sup ? G urp que dans ce château de
cartes, tout se décoince... Que le bien et le mal aillent se battre
autre part. En vrai, faudrait peut-être que je poireaute pas. Je me dis :
"Fais le, fais le" (Cfr. street Pavés Humides) mais eux n'y croiront
pas. Liège, irais-je voir d'autres foires mais le manège est le même de
Midi (bx) à Avroy (Lg). Saute, voir ! C'est pas de ma faute, moi ! Pas
de plan... "Faut pas que tu flanches Mounir" Pas encore entre 4
planches, néanmoins l'attente fait mourir.
REFRAIN
REFRAIN
L'atteeeeeeeeeeeeente
Tu te fais crever
et des fais divers te font rêver
Faut t'y faire ou faut t'élever.
Tu te fais crever
et des fais divers te font rêver
Faut t'y faire ou faut t'élever.
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